2021 aura vécu. Elle a été, à nouveau, marquée par l’insidieuse pandémie du coronavirus, qui s’était, ainsi, redéployée via des variants du Covid-19 tout autant redoutables.
Delta, Alpha, et à présent Omicron, ont tétanisé la planète toute entière avec des pics de virulence quasi apocalyptiques, à l’instar du troisième pic, enregistré, à l’été.
Au-delà de la menace sur la santé publique, à l’échelle mondiale, elle a également fortement impacté la sphère économique, par endroits effondrée, engendrant un manque à gagner, d’un ordre astronomique.
Echanges commerciaux ankylosés et banqueroute, ajoutées à des catastrophes naturelles qui ont défrayé la chronique dans certains pays, ont fait craindre le pire à l’Humanité toute entière.
Mais les dispositions innées et l’instinct de l’homme du surpassement de l’adversité ont fait qu’il entrevoit, désormais, des rivages moins abrupts.
Au-delà de la menace sur la santé publique, à l’échelle mondiale, la Covid 19 a également fortement impacté la sphère économique»
Echaudés, les gouvernements n’hésitent plus, pourtant, à contourner des restrictions, au plan socio- économique, qui étaient impensables à l’apparition d’un virus aussi inconnu que dangereux.
De ce point de vue, l’Algérie aura traversé avec plus ou moins de bonheur sa crise sanitaire pour se projeter, à présent, et à l’instar de tous les pays du monde dans une reprise de la vie normale et, partant, de la relance de son appareil économique, entre autre.
Une perspective que le président de la République, présentant ses vœux à son peuple à l’occasion du Nouvel An, a eu à appuyer en décrétant que 2022 allait être «l’Année du décollage économique» pour le pays.
Une résolution qui traduit, en somme, le vœu de l’Humanité toute entière, qui nourrit, par ailleurs, l’espoir de voir le monde apaiser ses tumultes et s’instaurer la quiétude, après les tempêtes si proches de l’anéantissement subies en 2021.
Hacène Nait Amara