L’Algérie est actuellement engagée dans une transformation significative, même de lui ouvrir une nouvelle ère de développement et d’émergence économique. Cette dynamique nouvelle reste à imprégner aux nombreux chantiers initiés par le chef de l’État et devant obéir aux règles de la diligence et de l’aboutissement ; sous le crédo «Toute action décidée doit commencer et toute action commencée doit aboutir». Ce qui tranche, il faut en convenir, avec les pratiques du passé. C’est ce que nous avons vu avec le programme du Président qui a donné l’exemple en honorant ses engagements et en engageant, aussi, son Gouvernement, ses collaborateurs les plus proches, ses chargés de missions et autres responsables à la tête des institutions et organes qu’il a mis en place ; impulsant, ce faisant, une dynamique de lutte contre les fléaux qui minent l’espace public et la cohésion sociale, à savoir la corruption et la bureaucratie.
Cette politique teintée d’un pragmatisme évident et dont les fruits ont commencé à être cueillis, ne pouvait aller sans une approche qui conforte les acteurs économiques et les investisseurs, étrangers compris, qui appréhendent, avec ambition et enthousiasme, un marché algérien porteur et prometteur.
C’est ainsi que le code de l’investissement, audacieusement novateur, est venu réhabiliter le climat des affaires et rendre son attractivité économique au marché algérien.
Dans le même temps, alors que les chantiers multidimensionnels alignaient progressivement des résultats positifs, d’autres liés aux infrastructures routières, autoroutières, énergétiques, industrielles et sociales, avançaient à grands pas, désenclavant, approvisionnant en énergie, réhabilitant, structurant et renflouant, partout où cela était nécessaire, les zones d’ombre, les périmètres agricoles, les zones industrielles et les zones d’activités, ainsi que les nouvelles cités d’habitation.
De portée multisectorielle, la politique de promotion de la production locale, d’intégration industrielle et d’incitation à l’exportation est venue imposer un nouveau paradigme, très vite adopté par l’ensemble des groupes économiques publics et leurs filiales, alors qu’il était déjà le credo de nombreuses entités privées, leur permettant aujourd’hui, à aller à la conquête du marché africain.
Ainsi, et à titre d’exemple seulement, parmi les acteurs mis à contribution par le chef de l’État, Sonelgaz n’a pas manqué de briller par son efficacité en tant qu’instrument de la politique publique de développement pour assurer la sécurité énergétique du pays, stimuler la croissance économique et améliorer le bien-être social.
De plus, dans sa volonté de cerner tous les aspects susceptibles de servir de leviers inter complémentaires pour le développement économique, le président de la République a également relancé les projets ferroviaires, dont il comprend l’importance stratégique pour la réalisation des ambitions industrielles et minières de l’Algérie nécessitant une logistique plus efficace pour le transport des ressources naturelles et des produits manufacturés à travers le pays et au-delà de ses frontières.
D’évidence, ce sont de telles actions abouties et celles condamnées à aboutir qui mettent l’Algérie à un tournant décisif de son histoire économique sous la direction éclairée du président Abdelmadjid Teboune qui a à cœur de voir advenir une véritable émergence économique du pays ; doublée d’une croissance inclusive qui profite à tous les Algériens.
H. N. A.