Evidence. L’Algérie enregistre un grand retard dans le domaine, délicat, de la monétique et du paiement électronique. De ce fait, et tenue de se mettre au diapason des nations avancées qui sont arrivées à, savamment, développé démocratisé à fond, le règlement du négoce, via le net, elle tente à présent de mettre les bouchées doubles en mettant en places des mécanismes fiables, interactifs et hautement sécurisés.
L’intelligentsia nationale est alors sollicitée pour mettre en branle une machine dont la chaine est constituée de multiples maillons, complémentaires l’un à l’autre.
Dans le conglomérat inter- bancaire qui a été crée à cet effet, GIE Monétique prédomine car y jouant un double rôle d’acteur et de régulateur.
L’entreprise portée par des cadres formés par l’université algérienne et chapeautée par Madjd Messaoudène semble répondre au défi, dans le rayon de ses compétences, alliant know how, rigueur et ténacité.
De création récente, en 2014, elle est partie pour devenir une plaque tournante dans la stratégie de la Monétique de l’Etat.
A. K.
