L’Algérie met les bouchées doubles pour rattraper le retard, causé par les effets soporifiques de l’économie rentière pétrolière, pour émerger dans l’ère des nouvelles technologies par lesquelles jurent les temps modernes, réglés dans tous les domaines au curseur du 2.0.
Jamais trop tard, donc, pour bien faire. Fallait-il seulement, pour cela, une réelle volonté politique à aller résolument vers un nouveau modèle économique qui soit basé, dans tous ses segments, sur la connaissance.
Une orientation que le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a eu à en tracer les angles lors de la Conférence nationale dédiée aux start-up ’’AlgeriaDisrupt 2020’’, tenue début octobre 2020. Le président a eu, aussi, à surligner le concept de la start up destinée à constituer la clef des horizons nouveaux que l’Algérie s’apprête à pénétrer de plain- pied, à l’aune du nouveau dogme économique, ainsi posé. Il a, surtout, assuré d’un accompagnement effectif de l’Etat traduit par la création d’un fonds national ad hoc et la mise à l’abri des porteurs de projets de tout tracas bureaucratique.
Et c’est bien pourquoi, le jeune ministre du secteur, un pur ‘’produit du milieu’’, trouve matière à pavoiser !
Yacine Walid donne le ton, en mettant en avant le maitre- mot qui prévaut au ministère chargé des start-up et de l’économie de la connaissance : les solutions innovantes.
La solution, incontournable, de l’Algérie de demain !
Azzouz K.