Le président de la République a succédé à lui-même au terme du scrutin de 7 septembre 2024.
En soi, ce succès d’Abdelmadjid Tebboune n’aura guère surpris. Non pas qu’il fît face à des rivaux de moindre envergure ; FFS et MSP n’étant pas des perdreaux de l’année, loin s’en faut. Où qu’il eût profité de la défection à ce rendez-vous crucial, de quelques personnalités aimant se définir comme une opposition radicale ; au prétexte que les dés étaient pipés ; exhumant ainsi des reflexes surannés.
L’honnêteté intellectuelle, ou l’honnête tout court, recommanderait d’admettre que l’homme était à créditer d’un chapelet d’actions au plan socio économique qui lui conféré bonne presse auprès des larges couches sociales en général et le citoyen lambda, en particulier.
Maintenant qu’il ait été élu avec un taux de participation qui a pu fait faire la fine bouche, importe peu au demeurant.
Les innombrables messages de félicitations de ses pairs étrangers, dont certains ont été quasiment instantanés et qui ont afflué au bureau du nouvel heureux élu ont eu comme impact majeur de tordre le cou aux contempteurs de ce dernier ; intra et extra muros.
Au final, et hormis l’impair commis sur les ratios de la participation par l’ANIE, le scrutin s‘est tenu dans les règles du jeu de l’éthique et de la transparence. N’en déplaise aux chantres autoproclamés de la démocratie et ses vertus.
Un chapitre sur lequel Tebboune a, par ailleurs, apposé un sceau seigneurial, et c’est ce qui constitue justement son triomphe ultime, à travers une posture démocratique qui a valeur de parangon de démocratie.
De fait, et de la réception ; dans un geste inédit, de ses rivaux à la Présidence au lendemain de l’élection, à ses engagements de ‘’descendre’’ devant les deux chambres du Parlement pour présenter ses bilans, en passant par l’annonce retentissante d’inviter à un dialogue national sur le devenir du pays, Abdelmadjid Tebboune a conforté le précepte qui lui est cher de ‘’l’Algérie nouvelle’’ et consolidé les fondements d’une démocratie réelle et palpable.
En somme, son succès ultime est à chercher à ce niveau. n
Par Hacene Nait Amara
Le président de la République a succédé à lui-même au terme du scrutin de 7 septembre 2024.
En soi, ce succès d’Abdelmadjid Tebboune n’aura guère surpris. Non pas qu’il fît face à des rivaux de moindre envergure ; FFS et MSP n’étant pas des perdreaux de l’année, loin s’en faut. Où qu’il eût profité de la défection à ce rendez-vous crucial, de quelques personnalités aimant se définir comme une opposition radicale ; au prétexte que les dés étaient pipés ; exhumant ainsi des reflexes surannés.
L’honnêteté intellectuelle, ou l’honnête tout court, recommanderait d’admettre que l’homme était à créditer d’un chapelet d’actions au plan socio économique qui lui conféré bonne presse auprès des larges couches sociales en général et le citoyen lambda, en particulier.
Maintenant qu’il ait été élu avec un taux de participation qui a pu fait faire la fine bouche, importe peu au demeurant.
Les innombrables messages de félicitations de ses pairs étrangers, dont certains ont été quasiment instantanés et qui ont afflué au bureau du nouvel heureux élu ont eu comme impact majeur de tordre le cou aux contempteurs de ce dernier ; intra et extra muros.
Au final, et hormis l’impair commis sur les ratios de la participation par l’ANIE, le scrutin s‘est tenu dans les règles du jeu de l’éthique et de la transparence. N’en déplaise aux chantres autoproclamés de la démocratie et ses vertus.
Un chapitre sur lequel Tebboune a, par ailleurs, apposé un sceau seigneurial, et c’est ce qui constitue justement son triomphe ultime, à travers une posture démocratique qui a valeur de parangon de démocratie.
De fait, et de la réception ; dans un geste inédit, de ses rivaux à la Présidence au lendemain de l’élection, à ses engagements de ‘’descendre’’ devant les deux chambres du Parlement pour présenter ses bilans, en passant par l’annonce retentissante d’inviter à un dialogue national sur le devenir du pays, Abdelmadjid Tebboune a conforté le précepte qui lui est cher de ‘’l’Algérie nouvelle’’ et consolidé les fondements d’une démocratie réelle et palpable.
En somme, son succès ultime est à chercher à ce niveau. n
Par Hacene Nait Amara
