Évidence. Le président de la République bétonne l’axe socio-social tant par ses injonctions que par des mesures retentissantes, qui ne laissent désormais plus place au doute.
On aurait cru à certains moments que son discours empruntait aux recettes soporifiques d’un passé pas lointain et qui ne titillait pas outre mesure la fibre d’une population échaudée par les écarts de classes, creusés par une caste de prédateurs tous azimuts.
D’aucuns ont sûrement oublié qu’Abdelmadjid Tebboune, alors éphémère Premier ministre a eu l’audace et la témérité de forer la cuirasse des oligarques tout puissants qui ne se connaissaient pas de limite dans la prébende et la prédation du bien public.
S’il avait déjà choisi son camp ; celui du faible et du démuni, à l’époque, le Président conforte sa tendance à faire porter au pinacle les ‘’laissés pour compte’’ d’hier, c’est à dire la grande masse des algériens, en œuvrant inlassablement, à asseoir sa dignité.
Cette dignité, à préserver, passe par des efforts financiers colossaux et plus encore par une volonté politique de titans et que traduit, d’un pas résolu, le Président des algériens.
A tous les plans et niveaux, il fait imparablement bouger les lignes et les acquis au profit du peuple ne se comptent plus.
In fine, il parachève le socle de l’État en promouvant deux secteurs stratégiques dans la vie d’une nation ; à savoir la santé publique et l’éducation nationale
Logement et relogement, augmentations substantielles des salaires et pensions, allocation chômage et, fait inédit et historique, augmentation sensible de l’allocation touristique.
Le citoyen- lambada ne rêvait même pas d’une telle ‘’ripaille’’, il y a seulement peu de temps.
En parallèle, et on l’a vu de nouveau lors de sa récente rencontre avec les walis, il s’attèle à impulser aux édiles et autres responsables des collectivités locales le sens des vertus à servir le citoyen dans la bienséance et l’efficacité.
In fine, il parachève le socle de l’État en promouvant deux secteurs stratégiques dans la vie d’une nation ; à savoir la santé publique et l’éducation nationale et dont il vient d’avaliser les statuts- types ; dont certains pans ont été récipiendaires de nouvelles augmentations de salaires et de dispositions de pré retraite.
En définitive, Abdelmadjid Tebboune à, déjà, le mérite de ses convictions qui convergent vers la réalité palpable ; au point de prophétiser que «l’Algérie ne peut être dévorée par un hashtag».
Quelques mois à peine après le début de son second mandat, le président de la République a définitivement largué les amarres vers ‘’l’Algérie nouvelle’’. Les planètes s’y alignent !
Par Hacène Naït Amara